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Le Décodage Biologique

« Tout ce qui ne remonte pas à la conscience revient sous forme de destinée. » Carl G. Jung .

Comme le pressent Jung, la maladie serait-elle là pour nous guérir et non pour être guérie ? Mais nous guérir de quoi ?

Tous les jours, notre psyché, mais aussi notre corps, nous envoient des messages.

Bien souvent, nous ne les écoutons pas, et un beau jour, nous nous retrouvons malades.

 

Le décodage biologique repose sur le postulat que l’origine de toute maladie, mal-être, est une émotion mal gérée qui s’est transformée en un fonctionnement organique.

Le Décodage biologique indique donc qu’un choc émotionnel est à l’origine du trouble. Une cartographie précise a même été établie, qui relie chaque organe à un conflit particulier.

 

Le système énergétique du corps humain permet de comprendre ce mécanisme.

 

Des études ont démontré que nous sommes tous pollués à des degrés divers:  les toxiques, les polluants, les radicaux libres, l'acidose ( alimentation industrielle, stress, sédentarité, manque d’oxygénation), sans oublier les antécédents personnels, les maladies et leurs séquelles, la perte de sens qui fragilisent davantage le terrain.

Si, dans ce contexte, un choc émotionnel intense survient, l’événement touchera d’abord les corps subtils qu’il pénétrera telle une flèche.

Or cette émotion n’est rien d’autre qu’une information véhiculée par une énergie qui possède sa propre vibration (l’énergie de l’amour n’émet pas la même onde que celle de la haine ou de la culpabilité, ou encore de la rancœur).

Une fois dans le corps vital, cette flèche ne se dirige pas au hasard : elle est attirée, par résonnance, par l’organe qui vibre sur la même fréquence qu’elle; chaque partie du corps, organes et tissus, vibrant à sa propre fréquence.

Lorsque l’émotion et l’organe se trouvent en résonance, la flèche se fixe donc sur l’organe. 

La flèche émotionnelle commence alors par bloquer la circulation énergétique : le champ vibratoire de l’organe va donc baisser. De plus, les énergies dégradées et dénaturées commencent à s’y accumuler, aggravant ainsi la situation.

Sur le plan physique, il se produit immédiatement une inversion de la polarisation des cellules de l’organe touché par la flèche émotionnelle. Du coup, une inflammation se produit, apportant un afflux de sang et, avec lui, des toxiques (polluants, métaux lourds, acides, radicaux libres) qui s’accumulent dans l’organe, induisant d’abord un dysfonctionnement, puis une maladie.

Le temps d’apparition de la maladie dépend essentiellement de la durée et/ou de l’intensité de l’émotion.

Un choc particulièrement intense peut générer immédiatement une maladie, alors qu'un choc moins violent, mais non résolu par la personne, perdure et attire à lui d’autres situations du même ordre (toujours par résonance).

Ce qui ne fait qu’empirer le problème, tant du point de vue énergétique que physique.

Ces phénomènes confirment ainsi différentes approches médicales

du point de vue physique, les polluants, toxiques, acides, radicaux libres constituent bien les causes de l’apparition de la maladie ;


du point de vue psychologique, il y a bien souvent un choc émotionnel inaugural qui détermine aussi l'apparition  de la maladie. Ce choc n’est pas la cause mais son facteur déclenchant, ce qui est différent ;


● du point de vue énergétique, il existe bien un blocage sur l’organe, avec une baisse du niveau vibratoire de la personne ainsi qu’une accumulation d’énergies perverses.


L’énergie se situe donc à l’interface du physique et du psychisme.

Dans l’histoire moderne, le Dr Georg Groddeck est certainement le premier véritable psychosomaticien: il a établi que toute maladie était psychosomatique du fait de la forte implication de l’inconscient dans sa genèse.

 

Dans son livre référence, «Le livre du ça», il note en 1923: «Plus le conflit intime de l’être humain est profond, plus les maladies seront graves, puisqu’elles représentent symboliquement le conflit et, réciproquement, plus les maladies sont graves, plus les désirs et la résistance à ces désirs seront violents. […] La maladie a une raison d’être: elle doit dissoudre le conflit, le refouler et empêcher ce qui est refoulé d’arriver au conscient. […]. C’est un message du ça, avec plus de clarté et d’insistance que ne le ferait la parole, voire la vie consciente.».

 

Karl Gustav Jung a élargi le champ d’investigation en confirmant le lien entre le corps et l’esprit. Plus proche de nous encore, Anne Ancelin-Schützenberger établit avec la psychogénéalogie l’importance pour notre santé des liens qui nous unissent à nos ancêtres.


La maladie est chargée d’un sens et n’arrive pas par hasard. Elle s’installe dans les failles créées  par les incompréhensions, les regrets, les blessures, les parties négligées de soi.


La maladie est donc la solution parfaite à un conflit psychologique ingérable par le cerveau dans l’univers biologique. Ceci nous amène à une vision émotionnelle du vivant.
Lorsqu’un conflit généré par un stress dure dans le temps, avec une intensité importante et ingérable par le cerveau,  celui-ci donne une solution biologique adaptée au problème dans le sens de la survie.

Le symptôme est donc l’expression codée biologiquement dans notre corps de ce que le MAL A DIT.

Le Dr Sabbah a poursuivi les travaux du Dr Hamer afin d'aider les malades à « déprogrammer » leurs maladies. Il est notamment allé chercher du côté de la programmation neurolinguistique (PNL) et des théories de l'inconscient de Carl Jung.

Il a aussi exploré la psychogénéalogie, l’étude des liens entre l'histoire psychologique des générations antérieures et le vécu émotif d'une personne. D’après cette théorie, certains éléments d’une problématique pourraient avoir été mis en place très tôt dans la vie d’une personne ou même chez ses ancêtres.

Il a aussi intégré le concept des Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés du Cerveau, élaboré par le psychologue français Marc Fréchet, qui avait étudié comment certains événements-clés qui semblent laisser une marque biologique se répètent selon un rythme cyclique.

 

Le décodage a de ce fait pour objectif, à travers l’écoute des mots/maux du patient, de l’accompagner dans la recherche de la cause et du sens de son symptôme.

C'est une nouvelle approche de la santé et de la thérapie fondée sur le sens biologique des symptômes. C'est en d'autres termes une discipline qui permet d'avoir un regard nouveau sur les causes d'une souffrance psychologique ou d'une maladie.

 

Principe du décodage biologique

 

Le décodage permet de donner un sens logique à la maladie physique, émotionnelle ou psychique en mettant en lien le corps et l’esprit.

Le principe de cette nouvelle approche consiste pour le praticien à accompagner le patient dans la recherche du sens de son symptôme grâce à l'écoute de celui-ci, et de l'aider à retrouver la cause de ce symptôme.

 

Chaque partie du corps possède une signification particulière, le but du décodage est rechercher et comprendre le conflit ayant un lien avec la maladie, en fonction du corps touché. Retrouver le choc initial à la base du problème est l'objectif poursuivi.

C'est en tant que principal acteur de sa guérison et de sa santé que le patient se rétablit.  Le patient seul pourra faire le chemin vers sa libération voire sa guérison.

Le décodage biologique, outil d’analyse et de compréhension hors pair, peut être d’une grande aide, pour nous permettre de retrouver le chemin de la guérison.

Dans sa conception, cette pratique ne procède à aucun diagnostic médical et ne propose pas de traitement médical. 

Prendre conscience ne suffit pas toujours à guérir : aussi d'autres techniques doivent être utilisées afin de permettre le passage de la compréhension intellectuelle à l’intégration cellulaire.

Les traitements devront agir sur les trois plans :

physique: décrassage de l’organisme, mode de vie et d’alimentation sain, etc. ;

psychique: résolution d’anciens conflits, travail sur ses propres valeurs, élimination des peurs...

énergétique: levée du blocage, élimination des énergies usagées.


Et si la maladie reste inscrite dans le corps de la personne, l’association d’un traitement naturel et/ou conventionnel devient alors nécessaire.

Décoder, c’est donc comprendre comment la maladie s’est installée, et connaître ce qu’il faut changer pour retrouver durablement le chemin de la santé. C’est aussi l’espoir de se libérer du poids du passé, et de s’ouvrir à nos propres potentiels.

Enfin, grâce aux emprunts à la psychogénéalogie, c’est pouvoir rompre la chaîne d’une certaine hérédité à l’origine d’un sentiment de fatalité.

Faire appel à un thérapeute en décodage biologique, c’est chercher à comprendre ce qui s’est passé, parfois même de nombreuses années en arrière. Pour cela, le décodage repose sur une multitude d’observations de nos mécanismes inconscients lorsque nous sommes soumis au stress. Une fois identifié il s’agit de bien reprogrammer notre carte mémoire.

Une certaine confusion entre la réalité et l’illusion.

La partie archaïque de notre cerveau a été conçue pour réguler les diverses fonctions de notre corps (température intérieure, respiration, digestion, etc.) et veiller à sa survie.

La programmation de cette dernière tâche est bâtie sur le principe de similitude, et non sur celui d’identité.

En opérant ainsi, notre inconscient tente d’identifier au plus tôt tout risque de danger afin d’avoir largement le temps de l’éviter. L’inconvénient d’une telle programmation est qu’elle s’active trop souvent et pour rien.

À confondre informations réelles, virtuelles, symboliques, l’inconscient nous conduit à adopter des comportements souvent inadéquats.

Aucun être humain ne peut éviter cette réaction car, à sa naissance, le cerveau n’est pas mature, excepté dans ses fonctions automatisées (inconscientes).

Ainsi, pendant de nombreuses années, nous mettons en place des programmes de survie et nous les renforçons sans en avoir conscience.

La somatisation provoque l’oubli du problème qui est à l’origine de l’épisode de crise, alors qu’il nous faudrait travailler à sa résolution.

Ainsi, chaque fois qu’un détail (un objet, une couleur, une odeur…) rappelle à notre inconscient le souvenir d’une situation désagréable que nous n’avons pas encore entrepris de métaboliser, le cercle vicieux des pensées inadéquates et des émotions négatives en rapport avec lui est non seulement réactivé mais renforcé, obligeant le système de survie à dévier chaque fois un peu plus d’énergie  vers la cible de remplacement.

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